Une période qui va permettre d'exacerber les efforts de toute la période de préparation foncière et pré-compétitive. D'un autre côté, cette courte période peut mettre par-terre plusieurs mois de travail.
Le moment n'est plus de chercher à développer les qualités physiques de force, de vitesse ou d'endurance: le travail a été fait. Le sportif aurait plus de desavantages à conserver un entraînement en volume plutôt que de qualité.
Nombre de d'études ont montré l'importance de limiter le volume (parfois divisé par 2 ou 3) à l'approche du moment fatidiques tout en gardant l'intensité qui stresse l'organisme pour maintenir la courbe de forme. Les temps de récupération sont aussi un paramètre qu'on omettra pas de moduler vers le haut.
L'amélioration des performances n'ont rien d'extraordinaire (3% en moyenne) mais les pertes peuvent être gigantesques (éliminations prématurées, blessures de sur-charge...).
Beaucoup de chercheurs ont théorisé sur la durée d'un affutage; ces rats de laboratoire ont oublié qu'un athlète est unique et on ne peut régir la préparation sur une série d'expériences, même trés bien menées.
On se souviendra qu'une des plus grandes nageuses françaises avaient un court affutage (de l'ordre de 48 à 72h) et que d'autres auront besoin de près d'un mois pour récupérer du volume d'entrainement hivernal et entrer dans une pratique de plus en plus spécifique.
On se souviendra qu'une des plus grandes nageuses françaises avaient un court affutage (de l'ordre de 48 à 72h) et que d'autres auront besoin de près d'un mois pour récupérer du volume d'entrainement hivernal et entrer dans une pratique de plus en plus spécifique.
Sportifs, faites appel à des professionnels de l'entrainement sportif pour ne pas gacher cette période cruciale: avec AzurPerformance, bien sûr.