Où va le sport en France ?

Les JO sont à peine finis que l'ensemble des fédérations sportives olympiques fait le bilan de 4 ans de travail.

Certaines ont obtenu les résultats escomptés mais d'autres se sont mises à côté. Toutes retiennent plusieurs points:

• un professionnalisme à développer chez les sportifs en préparation pour ne plus prendre le sport pratiqué comme un loisir mais comme un job à part entière,


• un encadrement qui doit continuellement se former aux dernières techniques de coaching et pourquoi pas aller rencontrer les meilleurs même à l'étranger (encore faut-il parler anglais couramment),


• une réorganisation du monde fédéral qui doit faire fâce à un budget du Ministère des Sports de plus en plus serré (c'est la crise) et des fédérations qui émergent (lutte par exemple). “Il faut vraiment se concentrer sur les meilleurs, aider les sports qui rapportent des médailles et éviter le saupoudrage” souligne Bernard LAPORTE(cf. Le Monde.fr)

Dans les 3 cas, le secteur privé est appelé à la rescousse par tout le monde dont LAPORTE .
Les athlètes vont chercher des spécialistes dans leur domaine, l'encadrement les rejoint aussi (un professorat de sport et un titre d'entraîneur national ne donnent pas la science infuse même si tous les CTR/CTN n'en sont pas forcément convaicus).
Enfin, les fédérations doivent compléter leur budget avec des partenaires privés comme le Groupe Lagardère afin de suppléer l'Etat.

Depuis 2 ans, quelques fédérations ont fait confiance à AzurPerformance et à d'autres partenaires privés (Groupe Legris, Dartfish...) pour prendre de l'avance dans l'entraînement des sportifs, des plus jeunes jusqu'à l'élite.

Bilan pour ces fédérations qui ont su sortir du carcan “public”: 5 médailles olympiques à Pékin!!