Le capteur de puissance permet d'avoir une image exacte de l'état de forme du cycliste sans être influencé par le relief, l'altitude ou les conditions météos.
De plus, en réalisant un profil de puissance (cf. Travaux de Frédéric GRAPPE), le cycliste connait sa puissance moyenne sur différentes durées de pédalage (6'' pour un sprint jusqu'à 60' pour une ascension longue).
Ainsi en course, il peut niveller son effort et savoir jusqu'où il peut aller en restant dans sa zone de "confort",....
Au choix, vous pouvez utiliser un capteur présent dans le moyeu de la roue arrière (Powertap), pratique à l'entrainement.
Les pros utilisent plus facilement le capteur placé dans le boitier de pédalier (SRM), plus lourd mais qui disposent de plusieurs avantages:
- s'ils crèvent en course, ils ne perdent pas leur capteur par un changement nécessaire de la roue,
- les vélos sont en général "un poil" léger pour la norme UCI et le poids de cet appareillage permet de remonter utilement sur la balance.
SRM propose un petit suivi sur le Tour de France avec un tracking sur Google Map et l'affichage des données de puissance, vitesse, cadence et FC pour une dizaine de cycliste.
Powertap propose ici un bilan de la 4ème étape du TdF (Cambrai-Reims) d'un coureur de la Cervélo qui a dû rouler pour Hushovd en fin d'étape pour proposer une puissance max de 1200 watts alors qu'il n'a pas participé au sprint final.
En effet, autant les sprinters tapent des puissances proches des 1400 watts mais les équipiers qui les amènent dans les meilleures conditions roulent pendant 1km à une puissance proche des 1000 watts lors de leur relais, un effort proche de la poursuite sur piste.
Demandez un plan d'entrainement cycliste et/ou triathlon avec l'aide d'un capteur de puissance: cliquez sur entrainement en direct ou entrainement à distance pour découvrir les détails de ces solutions d'entrainement.
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