Courir,
c'est bien mais varier les plaisirs, c'est mieux comme nous le mettons en place cet hiver dans le cadre d'une traileuse suisse!
On
progresse, on se protège et on s’aère...durant l'hiver, essayez le
skating!
S'entrainer différemment:
Pratiquer
un sport comme la course à pied de manière continue peux provoquer
des blessures de fatigue.
Chaque
pas renforce puis détruit progressivement certaines parties du
corps.
Nos
articulations supportent à chaque appui entre 2 et 8 fois le poids
de notre corps.
Inflammations
tendineuses, douleurs articulaires, périostites sont autant de
pépins physiques que le coureurs à pied ou le trailer rencontrent
au fil d'une carrière.
Pratiquer
une activité parallèle vous permet de continuer à progresser tout
en préservant le capital de votre organisme.
Le
coureur à pied peut pratiquer le cyclisme, la natation ou le
skating.... Quand on voit que des trailers de plus en plus nombreux passent sur les planches en ski de fond ou ski-alpinisme à l'image du Dieu Jornet.
Le
skating, le second souffle:
Le
skating, c'est le nom "in" du ski de fond et du pas de
patineur.
Proche
des sensations du roller, l'implication cardio-vasculaire est bien
supérieure que la plupart des sports d'endurance.
Nager,
courir ou rouler ne permettent pas d'atteindre une exigence
énergétique telle que le ski de fond.
Plusieurs
raisons à cela:
- L'altitude: à partir de 1500m d'altitude, la raréfaction de l'oxygène influence les activités aérobie. A partir de 4-5 jours d'acclimatation, cette particularité marque moins le souffle.
- L'équilibre: les skis de fond sont étroits et demandent un certain équilibre. L'utilisation des muscles stabilisateurs de chaque articulations et du rachis sont une demande énergétique (donc en oxygène supérieur) importante.
- Implication musculaire: nous l'avons dis ci-dessus, les muscles permettant l'équilibre sont stimulés mais le skating utilise beaucoup plus de muscles que la course à pied. Membres inférieurs et supérieurs sont de la partie.
Suite au prochain épisode.